A moins d'un an des élections européennes, les défis à relever ne manquent pas. La nouvelle vague migratoire sur l'île de Lampedusa en Italie, avec près de 8 000 clandestins arrivés en quelques jours, à quelques semaines de l'anniversaire de l'arrivée au pouvoir de Giorgia Meloni, montre les carences des dirigeants européens, y compris ceux qui avaient fait montre de bonnes intentions.
L’Union européenne, résolument progressiste, a déjà prouvé qu'elle ne comptait pas être un rempart. La faillite diplomatique de nos pays, et tout particulièrement de la France d'Emmanuel Macron, avec le continent africain aggrave encore la situation et empêche d'encadrer efficacement les flux chroniques d'immigration illégale. L'étiolement progressif de la souveraineté populaire a conduit à une situation presque incroyable dans laquelle la France, comme de nombreuses autres nations, débloque des fonds pour un soutien à l'Ukraine sans jamais avoir convoqué les élus du Parlement. Une attitude qui grève les budgets déjà exsangues de notre pays mais qui poignarde aussi le porte-monnaie des Français par l'action des sanctions contre la Russie qui ont contribué à l'explosion des tarifs de l'énergie.
Pour François Asselineau, le président de l'UPR, la France doit passer par le FREXIT pour retrouver sa souveraineté nationale et reprendre son destin en main. Il sera tête de liste pour les prochaines élections européennes.