Mercredi 14 septembre, la Cour Européenne des Droits de l'Homme a condamné la France pour ne pas avoir rapatrié des «filles et petits enfants des requérants détenus dans des camps en Syrie». La France contreviendrait à l'article 3 du protocole n°4 «nul ne peut être privé du droit d'entrée sur le territoire de l’État dont il est le ressortissant». La France a réagi et s'est dit «prête à envisager» de nouveaux rapatriements «chaque fois que les conditions le permettrons».