Lydie Maninchedda a gagné son combat. Cette grand-mère avait fait du rapatriement de ses trois petits-enfants, retenus en Syrie, sa priorité.
Avec son mari Patrice, ils avaient imploré en février le président Emmanuel Macron d'avoir «l'humanité» de les rapatrier d'urgence de Syrie.
Leur fille Julie, 26 ans, avait été tuée six mois auparavant avec son second mari, un Marocain du groupe Etat islamique, et son quatrième enfant
Selon les ONG, 80 mineurs français seraient actuellement retenus en Syrie.