De nouvelles études soulignent, les effets négatifs de la pollution, sur la santé cérébrale.
The New York Times rapporte que s'entraîner dans un air pollué peut annuler certains effets positifs de l'exercice.
Deux nouvelles études se sont penchées sur l'entraînement, la qualité de l'air et la santé cérébrale. Elles ont découvert que les personnes qui s'entraînent régulièrement avaient un cerveau plus gros et des risques de démence réduits.
Cependant, ceux qui font du sport dans des zones modérément polluée profitent moins des bénéfices de leur entraînement.
Selon une étude de 2013, les américains qui vivent dans des zones très polluées ont des risques plus grand de déclin mental.
D'après une étude publié en janvier dans le journal Neurology, plus votre respiration est intense plus vous pouvez respirer de polluants.
Les résultats de la première étude ont été corroborés par une autre publiée ce mois ci dans Medicine & Science in Sports & Exercise.
Ce suivi a permis de mettre en lumière le risque de démence pour les personnes qui habitent dans des zones pollués, même en faisant de l'exercice.
Ces données sont importantes pour mieux comprendre les facteurs qui accélèrent le vieillissement de notre cerveau, Pamela Lein, Professeur de neurotoxicité à l'Université
de Californie, Davis, via The New York Times.
Cette observation que la pollution peut nuire aux bénéfices d'une pratique sportive régulière est alarmante et constitue une preuve de l'urgence de développer une meilleure politique de contrôle, Pamela Lein, Professeur de neurotoxicité à l'Université
de Californie, Davis, via The New York Times