Chez les souris, le blocage d’une enzyme spécifique, a permis de meilleures conditions physiques.
Ce blocage a également permis une augmentation de l’endurance de ces animaux.
Les souris dépourvus de l’enzyme PHD3 ont couru 40 % plus longtemps et 50 % plus loin sur les tapis roulants.
Elles avaient également une VO2 max plus élevé.
Une meilleure compréhension de ces processus pourrait aider à débloquer de nouvelles applications chez les humains.
Cette découverte ouvre la voie dans l’amélioration des performances et la lutte contre le cancer.