Alors que les dons affluent depuis l’incendie qui a touché Notre-Dame, une polémique enfle autour des sommes débloquées pour l’occasion par les plus fortunées ainsi que sur les avantages fiscaux qui y sont rattachés. «On ne peut jamais polémiquer ou ronchonner sur des élans de générosité ! (…) C’est vrai que quand on annonce donner 100 millions, en réalité, on en donne 33. On a des dispositifs de défiscalisation très puissants, en France (...) Mais c’est une opportunité d’engranger des fonds pour le patrimoine : une partie ira à Notre-Dame et le reste irriguera les politiques d’accompagnement du territoire».