Interpellée par le député La France insoumise Hugo Benalicis, la ministre de la Justice Nicole Belloubet s’est défendue de toute instrumentalisation de la justice et de la police dans le cadre de la perquisition avortée survenue aux locaux de Médiapart après la révélation, par le journal, d’un enregistrement audio présenté comme un échange entre Alexandre Benalla et Vincent Crase.