Au Pérou, certains abatteurs d’arbres ont vu dans le paresseux un moyen inespéré de mettre un peu de beurre dans les épinards.
Ces animaux léthargiques peuvent dormir jusqu’à 20 heures par jour accrochés aux cimes des arbres.
Des proies d’autant plus faciles à capturer que leur incurable flemmardise ne leur permet pas d’excéder 38 mètres par jour…
Les bûcherons péruviens reconvertis dans le braconnage écument sans relâche les forêts tropicales à la recherche de paresseux.
Si le paresseux n’est pas mort du stress de sa capture, les braconniers le vendront 13 $ à un marchand spécialisé dans la vente illégale d’animaux sauvages.
Le paresseux n’a plus que deux options : finir sa vie comme animal domestique, ou atterrir dans une usine à selfies.
Les marchands mettent à votre disposition près de 18 espèces différentes – toutes maintenues en captivité – pour assouvir vos caprices en tous genres.