Au côté de la dirigeante birmane Aung San Suu Kyi, le secrétaire d'État américain Rex Tillerson s'est opposé aux sanctions américaines contre la Birmanie. En revanche, il exige une enquête à la fois "impartiale" et "crédible" sur les accusations d'épuration ethnique des Rohingyas. Si les informations sur ces actes sont fiables, les personnes concernées seront alors sanctionnées.