Deux jours après les résultats du premier tour de la primaire de la droite et du centre et alors que Nicolas Sarkozy ne s’est pas qualifié pour le second tour, Éric Woerth revient sur cette défaite. « Nous avons accueilli cette défaite avec tristesse mais je n’utiliserai pas le terme ‘d’humiliation’ », indique l’ancien soutien de Nicolas Sarkozy. « C’est un pari perdu mais je n’ai pas de regret », nuance le député LR de l’Oise.