À moins d’une semaine du premier tour de la primaire de la gauche et à environ trois mois du premier tour de l’élection présidentielle, les politiques défendent leur candidat et n’hésitent pas à lâcher quelques tacles à d’autres. Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris, invité sur LCP, a tenu à dénoncer l’attitude trop personnelle de Jean-Luc Mélenchon depuis le début de sa campagne : «[px_nbsp:nbsp]Jean-Luc qui a toujours été contre la Vème République joue à mort la logique personnelle en niant les corps intermédiaires que sont les partis". L’ancien premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, interrogé au micro de Franceinfo, a déclaré, avec un léger sourire, « au nom du syndicat des anciens Premiers ministres », que sa préférence pour la primaire de la gauche tendait vers Manuel Valls. Quant à l’ancien ministre du Travail, François Rebsamen, il a expliqué qu’il ne voterait pas pour les « frondeurs » que sont Arnaud Montebourg et Benoît Hamon lors de la primaire de la gauche.