Huit jours après l'attentat de Sousse, le chef de l'Etat tunisien Béji Caïd Essebsi a décrèté l'état d'urgence, accordant des pouvoirs d'exception à la police et à l'armée. La mesure avait, à plusieurs reprises, failli entrer en instauration depuis mars et les attaques sur le musée du Bardo.