Seulement «20% des collégiens font aujourd’hui du latin ou du grec». La ministre de l’Education nationale a réaffirmé lundi sur BFMTV son souhait de voir tous les collégiens exercer des langues mortes, encore optionnelles à ce jour. Elle annonce qu’avec la réforme du collège, ces langues deviendront «un enseignement pratique interdisciplinaire» qui fera partie du temps de scolarité.