"Le premier soucis de Barack Obama était que des pays arabes participent", décrypte le général Gilles Desclaux, quelques heures après les premières frappes en Syrie. "On n'a jamais vu intervenir à la fois des pays aussi divers comme la Jordanie' Arabie saoudite, le Koweit…", analyse le consultant militaire de BFMTV.