Les Etats-Unis ont bombardé une base aérienne en Syrie en riposte à une attaque chimique imputée au "dictateur Bachar al-Assad". Mais ces frappes sont considérées par Washington comme une réponse ponctuelle et non comme un changement de pied dans la politique internationale de Donald Trump. Mais si ce n’est une entrée dans le conflit, on comprend mal alors l’appel du président aux nations civilisées pour mettre fin au bain de sang en Syrie. Et que se passerait-il si une nouvelle attaque chimique avait lui ?