Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux, Jacques Attali ou Nadine Morano : des dizaines de portraits de personnalités politiques, surtout de droite, mais aussi d'intellectuels et de journalistes épinglés sur un "mur des cons" au sein du Syndicat de la magistrature (SM), classé à gauche, ont provoqué mercredi 24 avril 2013, stupeur, indignation ou rires. Christiane Taubira a assuré lors des questions à l'Assemblée que les épinglés du mur "sont parfaitement fondés à déposer plainte", sans se prononcer sur une éventuelle saisine du Conseil supérieur de la magistrature réclamée par l'opposition. Durée: 02:07