Pas de répit pour le président François Hollande. Lors de sa visite d'Etat au Maroc en pleine affaire Cahuzac, le président Français espérait échapper à la pression des médias. "Je ne connais rien de ses activités. Si elles ne sont pas conformes à la loi fiscale, je demande que l'administration s'en empare", devait-il se justifier.
Dans un climat de pression médiatique et d'impopularité record, et après des sorties chahutées comme à Dijon en mars dernier, ses conseillers renoncent à un déplacement de deux jours en Ardèche. Ils privilégient un retour aux sources en Corrèze pendant le week-end du 7 avril.