Marylise Lebranchu : "[’Accord patronat-syndicats] Ca a été un peu compliqué avec certains parlementaires [socialistes], je le reconnais."
Public Sénat
2013-04-02
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L'invité politique
Ce matin, à 8h15 sur Radio Classique et Public Sénat,
Marylise Lebranchu, Ministre de la Réforme de l'État, de la Décentralisation et de la Fonction publique
Invitée de Guillaume Durand et de Gilles Leclerc
Extraits
A propos du PSG et de la taxe à 75% :
« Je n’ai aucun élément sur cette affaire. (…) Moi je préfèrerais qu’il soit taxé aussi. (…) C’est vrai que la taxe telle qu’elle était les touchait. (…) C’est beaucoup plus difficile maintenant de trouver une solution. »
A propos du remaniement évoqué dans le Figaro :
« Ce n’est pas du tout mon impression. (…) De toute façon, (…) tout est difficile. (…) Il faut rester calme, serein, garder son chemin, bien évaluer toutes les politiques publiques (…) et ne pas commencer à dévier. »
A propos du choc de simplification :
« C’est un travail qui a commencé dès l’été dernier. (…) Le Premier ministre a décidé d’en faire un sujet interministériel, sous son autorité directe. (…) [Dans] mon secteur, [il s’agit] d’abord d’évaluer les politiques publiques, (…) de faire des économies sur les achats de nos services, (…) sur les aides aux entreprises, (…) mettre les agents et les fonctionnaires (…) du côté de la modernisation de l’action publique. (…) Les agents, il faut les motiver. (…) J’ai ouvert un site où je leur ai demandé de me faire toutes les propositions qui leur semblaient justes, (...) il y a déjà 1500 propositions. (…) Je propose de simplifier l’action publique et de rendre ce service plus efficace. (…) On va traquer toutes les niches d’économie. (…) On va rendre des comptes tous les trois mois (…) au comité interministériel. (…) Il n’y a pas seulement une intention, il y a une action quotidienne. »
A propos de l’accord patronat-syndicats :
« Tout le monde au gouvernement le défend. Ca a été un peu compliqué avec certains parlementaires [socialistes], je le reconnais. (…) Mais leur objectif, c’est de réussir. (…) Je pense qu’ils vont essayer d’améliorer ce texte comme ils le veulent. (…) Quand on est socialiste et qu’on reconnaît l’action des syndicats comme un élément essentiel, (…) alors on encourage les accords qu’il peut y avoir. »
Ce matin, à 8h15 sur Radio Classique et Public Sénat,
Marylise Lebranchu, Ministre de la Réforme de l'État, de la Décentralisation et de la Fonction publique
Invitée de Guillaume Durand et de Gilles Leclerc
Extraits
A propos du PSG et de la taxe à 75% :
« Je n’ai aucun élément sur cette affaire. (…) Moi je préfèrerais qu’il soit taxé aussi. (…) C’est vrai que la taxe telle qu’elle était les touchait. (…) C’est beaucoup plus difficile maintenant de trouver une solution. »
A propos du remaniement évoqué dans le Figaro :
« Ce n’est pas du tout mon impression. (…) De toute façon, (…) tout est difficile. (…) Il faut rester calme, serein, garder son chemin, bien évaluer toutes les politiques publiques (…) et ne pas commencer à dévier. »
A propos du choc de simplification :
« C’est un travail qui a commencé dès l’été dernier. (…) Le Premier ministre a décidé d’en faire un sujet interministériel, sous son autorité directe. (…) [Dans] mon secteur, [il s’agit] d’abord d’évaluer les politiques publiques, (…) de faire des économies sur les achats de nos services, (…) sur les aides aux entreprises, (…) mettre les agents et les fonctionnaires (…) du côté de la modernisation de l’action publique. (…) Les agents, il faut les motiver. (…) J’ai ouvert un site où je leur ai demandé de me faire toutes les propositions qui leur semblaient justes, (...) il y a déjà 1500 propositions. (…) Je propose de simplifier l’action publique et de rendre ce service plus efficace. (…) On va traquer toutes les niches d’économie. (…) On va rendre des comptes tous les trois mois (…) au comité interministériel. (…) Il n’y a pas seulement une intention, il y a une action quotidienne. »
A propos de l’accord patronat-syndicats :
« Tout le monde au gouvernement le défend. Ca a été un peu compliqué avec certains parlementaires [socialistes], je le reconnais. (…) Mais leur objectif, c’est de réussir. (…) Je pense qu’ils vont essayer d’améliorer ce texte comme ils le veulent. (…) Quand on est socialiste et qu’on reconnaît l’action des syndicats comme un élément essentiel, (…) alors on encourage les accords qu’il peut y avoir. »
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