Après deux jour de grève successifs sans réponse prompt du Hcr-togo avec à sa tête monsieur VODONOU qui menacent même ces femmes d’emprisonner s'il elles continuent leurs manifestations. Mais tout ceci ne démoralise pas ces dames et enfants dévoués qui disent ne lâcherons pas tant qu'elles leurs enfants leurs maris c'est à dire tout les réfugiés ivoiriens sur le camp la paix d'avepozo n'ont pas eu une nouvelle terre d'asile