Les milliers de plats surgelés retirés du commerce car la viande de boeuf qu'ils contenaient étaient de la viande de cheval ne sont pas pour autant impropres à la consommation. Benoît Hamon a précisé qu'une disposition réglementaire prévoyait la possibilité de redistribuer ces produits. Les associations attendent avec impatience de pouvoir récupérer ces denrées, même si l'organisation de cette récolte risque d'être compliquée.