A l’approche du deuxième anniversaire du monstrueux tsunami de mars 2011, le patron du marché au poissons d’Ishinomaki, ville portuaire du nord-est du Japon ravagée par les flots, a eu la surprise de recevoir par la poste la semaine dernière deux lingots d’or d’un kilo chacun, d’un expéditeur anonyme