Le chef de la majorité tchèque était visé par une motion de censure. Celle-ci faisait suite à l'amnistie qui avait permis de bloquer des enquêtes concernant des dizaines de crimes financiers. La mesure impopulaire avait provoqué la colère des tchèques. Ces derniers y voyaient là un moyen d'aider les hommes politiques à échapper à la justice.
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