"La moins mauvaise des solutions" c’est la reprise de "tout le site : le chaud et le froid". Or aujourd’hui, seule la phase liquide est proposée à la reprise, déplore la CFDT. "Il faut absolument sauver le site, car c’est un site qui gagne de l’argent", assure Jean-Mac Vecrin, délégué syndical central de la CFDT chez ArcelorMittal.