« Il n’y aura pas de relance sans investissements ». Tel est le point de départ de l’inquiétude de Jean-François Mayet (Indre) face à la politique menée par le Gouvernement socialiste et en particulier à la remise en cause du projet de ligne à grande vitesse Paris-Orléans-Clermont-Lyon.
Conscient que les restrictions budgétaires obligent à des arbitrages parmi les investissements, le sénateur de l’Indre met en avant ce projet comme devant demeurer prioritaire. Il est, en effet, à la fois utile et générateur d’activité économique dans les territoires concernés.