Arrivée à Narbonne, la douzième étape aura été marquée par le contrôle positif de l'Italien Ricardo Ricco, un coup de tonnerre sur le Tour de France. Ricco, double vainqueur d'étape, qu'on voyait déjà comme le meilleur grimpeur de sa génération, était dopé à l'EPO. Une nouvelle qui révolte Laurent Fignon comme elle le satisfait : "Comment des coureurs peuvent-ils encore se doper", se demande-t-il, tout en se réjouissant du fait que 'les tricheur se font pincer". Il précise également la règle du hors délais.