Le Linceul de Turin est aux antipodes des enseignements académiques et des discours qui ne transforment personne : il n’apporte aucun programme, aucune théorie.
Mais sa miraculeuse présence presse l’intelligence d’user de sa principale fonction : la recherche du vrai à partir des réalités objectives transmises par les sens. (Exercice peu goûté aujourd’hui.)
La Vérité encodée dans ce drap mortuaire redresse la raison, enflamme la foi, transfigure le monde.
L’impossible devient possible : « La mort perd son aiguillon, la mort perd sa victoire » (1Co. 15, 55)
Le Christ est ressuscité !
Et Il ressuscite tout homme de bonne volonté qui adhère à Sa Bonne Nouvelle.