Dans
«le Sanglot de l’Homme noir»,
Alain Mabanckou dénonce «les gardiens autoproclamés de l’authenticité africaine», mais aussi la colonisation («un des crimes les plus crapuleux de l’histoire») et les «marchands de peur» qui, dans la France contemporaine, nourrissent une xénophobie croissante. Il s’en explique ici, pour
BibliObs.com.