Le procès du patron de la télévision tunisienne Nessma, poursuivi pour atteinte aux "valeurs du sacré" après la diffusion en octobre du film Persepolis, qui avait provoqué des violences à Tunis notamment d'islamistes radicaux, s'est ouvert jeudi 17 novembre dans une indescriptible cohue avant d'être reporté à janvier. Durée: 01:14.