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Le soir de la mort de Kadhafi, Bernard-Henri Lévy expliquait sur le plateau de France 2 que l'ex-dictateur libyen était mort "dans un échange de tirs, les armes à la main". "Il y a charia et charia", distingue-t-il aujourd'hui dans un bloc-notes du Point, après des déclarations du nouveau pouvoir libyen, expliquant que le droit du nouvel état devrait s'appuyer sur la charia.

On ne l'avait pas toujours entendu aussi indulgent à l'égard de la charia !

Son implication dans la guerre de Libye, ses sources privilégiées au sein du CNT, font-elles de l'intellectuel un propagandiste du nouveau pouvoir libyen ? Maja Neskovic est allée l'interroger.

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