Sur les côtes océaniques françaises, la profondeur croit très vite dès que l'on s'éloigne des rivages. Dans ces conditions le coût d'implantation des parcs éoliens offshore atteint très vite des sommets. Pour répondre à l'appel d'offres lancé en 2011, les éoliennes flottantes constituent donc une alternative intéressante et crédible. Mais soumises conjointement aux contraintes hydrodynamiques et aérodynamiques, la conception de ces aérogénérateurs est complexe et fait encore l'objet de nombreuses recherches et optimisations à l'instar de celles qui sont poursuivies à l'école centrale de Nantes.