Olivier Guillard, directeur de recherche à l'IRIS, répond à nos questions :
- Après les révoltes arabes, peut-on parler d’une onde de choc dans les pays asiatiques ?
- La Chine possède des intérêts stratégiques au Proche et Moyen Orient. Comment Pékin a-t-il réagi à ces révoltes et peuvent-elles avoir une influence à moyen terme sur sa politique étrangère ?
- Pourrait-on assister un jour à un « printemps asiatique », en particulier en Asie du Sud-Est ?