A propos de l’affaire Michèle Alliot-Marie:
«(…) J’estime qu’elle n’a pas fait une faute (…) En ce qui me concerne, je ne serais pas partie en Tunisie (…) mais je ne suis pas ministre des Affaires Etrangères. (…) Je constate un fait (…) elle n’a pas fait [de] faute à l’égard du contribuable français. (…) Après, est-ce qu’elle a fait une erreur politique en allant en Tunisie ? Posez-lui la question ! »