"Partir, partir encore, partir toujours, nulle part je n'ai été chez moi", dixit Fatma Marguerite Aith Mansour dans son livre "Histoire de ma vie". Les Amrouche resterons des écorchés vifs qui ne trouverons leur place nulle part.Comme tous les déracinés, ils ne seront plus jamais comme avant, ni comme les autres..
Içi je reprend modestement le chant original de Taos pour permettre la compréhension du texte, Taos chantant très haut en soprano l'original.
Les disques vynils sont d'époque, parmi eux, celui qui lui valu d'etre primé en 1967 à Paris dont est extrait "Said ou lamara" un chant ancestral kabyle qui existe encore selon les régions. Si içi, il est un chant d'amour, domaine "Ahiha", il peut etre différent ailleurs ou je l'ai retrouvé en chant grivois comme en chant de noces dans des variantes différentes et encore d'usage.