En janvier 2008, le Premier ministre faisait du logement et de l'hébergement des personnes sans abri et mal logées un grand «Chantier national prioritaire» et annonçait que «plus personne ne serait contraint de vivre dans la rue». Aujourd'hui, alors que nous entrons dans la période hivernale, les promesses n'ont pas été tenues et les signes inquiétants s'accumulent.