Alors que la fin du festival approche, les tensions montent entre nos chroniqueurs... Celles-ci finissent même par éclater au grand jour à la sortie d'un film russe (à moins qu'il ne soit ukrainien), lorsque passé et futur, différent et même, 1 et 0, glabre ou barbu, Dostoïevski et Dorashoo, bref lorsque les points cardinaux de la pensée ne font même plus consensus au sein de la rédaction..
Et soudain, du chaos surgit le Thaïlandais, miraculeux Apitchatpong et son oncle Boonmee, venus les poches pleines de miel, de princesses et de poissons chats. Et à nouveau : paix, concorde, Jo(i)e.
En tout cas jusqu'à demain, heure du bilan...