Venu soutenir Françoise Grossetête à Lyon le 15 mars, Xavier Bertrand l’a assuré, dans ce second tour « rien n’est joué d’avance ». Et ce n’est certainement pas les accords contre nature des partis de gauche qui risqueront d’affaiblir l’ambition d’une majorité présidentielle qui continue de revendiquer son unité