SAINT VALENTIN***CE QUI RESTE DE NOUS***de Joâo Marques
Atalozur
2010-02-14
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A l'occasion de la Saint Valentin .
Dédicace a L'ami JOÂO ET SA FEMME FANETTE...Dont je remercie pour sa confiance .
Un texte fort que J'ai posé une petite mélodie pour l'accompagner
Et les mois par poignées Passèrent abondants
Elle et moi, les années Empilées sur ce temps
Qui m’ont fait la barbe grise En calquant sur son cœur
Où les poils blancs s’hérissent Comme autant de ses pleurs
Regarde nos souvenirs Ils valsent comme une âme
À les entendre rire On en oublierait leurs drames
Quand ils riaient de tout, Quand ils riaient d’un rien
Courrant comme des fous Sur leur bout de chemin
J’entends encore Tes pleurs dans la nuit de mes jours
Ceux qui m’ont rendu fort, L'essence de ton amour
Je mendiais ton regard En volant mon image
Que je teintais de fards Pour mieux masquer ma rage
Sur des marées de larmes L’amer nous séparait
En tonnerres et vacarmes Quand l’orage grondait
Mais les pôles s’attirent Comme se joignent les aimants
On espérait seulement en rire au temps des vieux amants
Vois, les mois passent encore Comme ainsi va la vie
Elle qui nous rend plus fort Chaque jour qui s’en suit
Dans ce grand temps qui passe, On le sait, on s’en fout
Désormais plus rien qui efface
Ce qu’il reste de nous ....
Dédicace a L'ami JOÂO ET SA FEMME FANETTE...Dont je remercie pour sa confiance .
Un texte fort que J'ai posé une petite mélodie pour l'accompagner
Et les mois par poignées Passèrent abondants
Elle et moi, les années Empilées sur ce temps
Qui m’ont fait la barbe grise En calquant sur son cœur
Où les poils blancs s’hérissent Comme autant de ses pleurs
Regarde nos souvenirs Ils valsent comme une âme
À les entendre rire On en oublierait leurs drames
Quand ils riaient de tout, Quand ils riaient d’un rien
Courrant comme des fous Sur leur bout de chemin
J’entends encore Tes pleurs dans la nuit de mes jours
Ceux qui m’ont rendu fort, L'essence de ton amour
Je mendiais ton regard En volant mon image
Que je teintais de fards Pour mieux masquer ma rage
Sur des marées de larmes L’amer nous séparait
En tonnerres et vacarmes Quand l’orage grondait
Mais les pôles s’attirent Comme se joignent les aimants
On espérait seulement en rire au temps des vieux amants
Vois, les mois passent encore Comme ainsi va la vie
Elle qui nous rend plus fort Chaque jour qui s’en suit
Dans ce grand temps qui passe, On le sait, on s’en fout
Désormais plus rien qui efface
Ce qu’il reste de nous ....
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