Si certaines sonates sont très jouées, je trouve que la deuxième est injustement méconnue Le second mouvement (l'Adagio) est pourtant une merveille qui nous révèle un Mozart plus intime On y trouve déjà alors que c'est une oeuvre de jeunesse tout le génie du compositeur: je trouve d'ailleurs qu'elle annonce un peu le célèbre mouvement lent du 23ème concerto (avec son rythme de sicilienne au début et son atmosphère très proche)