a lumière noire transforme l’espace et en modifie les perceptions à travers une étrange bichromie. L’univers rappelle les forêts imaginaires et fantastiques décrites dans les contes. Les fleurs fluorescentes dispersées dans les branchages réagissent aux modifications des flux lumineux.
Elles camouflent dans leur pistil des capteurs de lumière. Ceux-ci retranscrivent les impulsions et les variations lumineuses à un programme informatique. En retour un ordinateur relié à des enceintes dissimulées dans la pièce traduit la mélodie engendrée par les mouvements des halos de lumière. Chaque fleur reliée à des sonorités variées permet de générer un univers acousmatique évoluant en fonction des intensités lumineuses, des aléas des interventions des spectateurs.