«J'ai travaillé avec un orchestre symphonique et ça aussi, c'est de la job, mais je peux dire que c'est plus compliqué de monter le spectacle quand on est six musiciens que 80. Les musiciens classiques ont leur partition écrite. Tu peux répéter la veille du concert et être prêt le lendemain. Tu travailles sur les nuances de l'interprétation, mais tu peux pas arrêter l'orchestre à tout bout de champs pour un détail. C'est comme un Boeing: c'est pas facile à arrêter. Les deux spectacles sont deux expériences complètement différentes.»Richard Desjardins