Salif Keïta quitte son village natal Djoliba à 17 ans pour vivre de la musique et partira en exil avant de retourner au Mali dans les années 90.
À l'occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l'albinisme.
Surnommé "La voix de d'or de l'Afrique", il revient aujourd'hui sur scène pour son dernier et ultime album So Kono.