Ce concert instrumental entre deux grands musiciens, Hussein El- Masry et Narenda Bataju, grand joueur de sitâr, est un concert d'une grande qualité musicale. Il ne s'agit pas d'une rencontre fortuite, ni d'un mariage inopiné et irréfléchi, mais de divers essais au sens où nous l'entendons quand nous pensons à ceux de Montaigne.
Cette rencontre est basée sur l'exploitation d' un mode improvisé, construit sur une structure fixe et rigoureuse. Un prélude non mesuré où la légèreté aérienne et la sérénité du sitâr s'opposent à la chaleur terrienne et profonde du 'ûd. Une magie survient singulière, entre