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La récente victoire de Donald Trump aux élections présidentielles américaines de 2024 semble quelque peu occulter le fait qu'il a été reconnu coupable dans une affaire pénale cette année. Au printemps dernier, l'ancien président a été jugé par un tribunal de New York concernant des paiements dissimulés à Stormy Daniels, une actrice de films pour adultes.
## Un futur président sous le poids d'une condamnation
Bien que cette condamnation pénale n'empêche pas Donald Trump de reprendre la présidence des États-Unis, il prendra ses fonctions le 20 janvier 2025. Cependant, sa peine liée à l'affaire Stormy Daniels sera prononcée le 10 janvier. Il devra comparaitre devant le tribunal à cette date.
## Une première historique dans le pays
L'élection de Donald Trump au poste de 47ᵉ président des États-Unis ne lui évitera pas sa condamnation pénale. Le juge Juan Merchan a confirmé qu'il devra faire face à sa sentence peu avant le début de son mandat. En effet, c'est la première fois dans l'histoire du pays qu'un ancien président est condamné par une cour pénale. L'ancien président a été reconnu coupable de 34 chefs d'accusation par un jury de Manhattan, concernant le versement de fonds à Stormy Daniels, afin de cacher un rapport sexuel présumé survenu en 2006, alors qu'il était toujours marié à Melania Knauss.
## Les recours judiciaires de Trump
Trump et son équipe ont déposé plusieurs recours pour tenter de faire annuler ce verdict. Bien qu'il bénéficie d'une immunité présidentielle à partir de son investiture, il sera malgré tout condamné. Cependant, le juge a indiqué qu'il est peu probable qu'il soit incarcéré, précisant qu'il n'est pas enclin à prononcer une peine d'emprisonnement malgré les sanctions encourues.
## La réaction de Trump
En réponse à cette décision judiciaire, Donald Trump s'est exprimé sur les réseaux sociaux, qualifiant cette affaire d'"attaque politique illégitime", décrivant la situation comme une mascarade. Il a également critiqué le juge Juan Merchan, le qualifiant de "partisan extrémiste" et l'accusant de ne pas respecter la Constitution.