"On mangeait, on dormait, on vivait JO. Donc en fait quand ça s'arrête, c'est déstabilisant."
BRUT MENTAL — Il y a quatre mois, elle obtenait une médaille d'argent aux Jeux olympiques de Paris 2024. Et depuis, elle n'avait pas remis les pieds sur une piste, parce qu'elle avait besoin "de décompresser". Entre tristesse, colère et déception, l'escrimeuse Sara Balzer nous raconte l'après JO et le "vide" qu'elle et de nombreux autres athlètes ont ressenti. On est allé la voir pour sa reprise de l'entraînement.