Dans un monde hyperconnecté, les réseaux sociaux ne sont pas seulement des outils. Ce sont des arènes où se joue une part croissante de l’influence des dirigeants. Pourtant, nombreux sont ceux qui, à l’instar de Jacques Chirac découvrant « le mulot », confient la gestion de ces espaces cruciaux à des community managers ou à des agences. Si cela semble pratique, c’est en réalité une erreur stratégique majeure. En renonçant à animer eux-mêmes leurs réseaux sociaux, les dirigeants se privent d’un levier d’influence unique. [...]