"Moi, mes peintures, il faut qu'il y ait un message engagé dedans, sinon je n'en ressens pas l'interêt."
Électricien pour certains, street artist pour des milliers d'autres. Lui, c'est Otist et on a passé la journée avec lui à Grenoble où, cette fois, c'est légalement qu'il va peindre au pochoir comme une de ses idoles : Banksy.