Une voix grave, du groove, de la soul, on reconnaît chez Macy Lu un peu d’Amy Winehouse, de Celeste et de Selah Sue. Désormais aussi en français, ses textes déroulent des histoires d’amour, des erreurs, une adorable mélancolie, sensuelle et poétique, qui fait « scintiller ses plaies ». Le son de Macy Lu agrège ses multiples influences : soul et folk, héritage du groupe Uptown Lovers qu’elle composait avec le guitariste Benjamin Gouhier (vu à Jazz à Vienne et au Radiant) ; hip-hop, issu de son projet Supa Dupa avec le rappeur Notabene (aperçu au Périscope). La Lyonnaise livre désormais de la soul hybride et poétique, aux accents r’n’b et jazzy.