Le secrétaire général de la coordination rurale Christian Convers alarme sur la colère des agriculteurs : «Si un pays comme la France n’est pas capable d’arrêter un traité où il engage sa souveraineté, ce n’est pas notre faute, c’est un problème politique. (…) Il faudrait qu’on se parle franchement parce que là on rentre dans une crise.»