Les scandales mondiaux de p*docriminalité se suivent et se ressemblent, et à chaque fois ils passent par trois étapes:

"ridicule, complotiste, évident".

Après l'abominable affaire Epstein pour laquelle autant de médias auront pratiqué un damage contrôle désespéré jusqu'au bout, avant d'avouer ce que le public le plus vigilant savait depuis des années: oui ce réseau global de trafiquant d'enfants a existé pendant des décennies, place à l'affaire P. Diddy, qui y est très certainement liée d'abord.

A chaque fois bien sûr, la médiasphère joue la surprise: "comment aurait-on pu imaginer une telle horreur?”

Et pourtant, de 50 cents à Justin Bieber des personnalités publiques suivies par des centaines de millions de gens avaient à plusieurs reprise lancé des alertes suffisantes pour justifier a minima une enquête de police. Quelles personnalités d’ailleurs le rappeur américain va-t-il entraîner dans sa chute? On est en droit de penser que les ramifications de son vice terrible de mèneront, comme dans l’affaire Epstein, a absolument aucune autre condamnation, ou tout au plus à la rupture de quelques pratiques fusibles jusqu’à la prochaine affaire.

Nous faisons le point avec le journaliste Alex Jordanov, ovni du Paysage Audiovisuel Français, proche de Karl Zero et auteur des ouvrages de référence

- les guerres de l’ombre de la DGSI : plongée au coeur des services secrets français
- Merah: l’itinéraire secret

Alex Jordanov a très bien connu le milieu du Hip Hop US et en particulier la guerre East Coast / West Coast, dont certains cadavres (comme celui de 2Pac) semblent déjà vouloir sortir du placard, et il nous expliquera pourquoi en effet, comme dans l’affaire Epstein, autant de gens savaient…