Certains passent devant sans même l'apercevoir. D'autres, des femmes surtout, font un détour pour la prendre en photo. Une fresque représente Gisèle Pelicot avec cette phrase : « Pour que la honte change de camp ». Pour de nombreuses femmes, le visage de celle qui accuse son mari de nombreux viol, filmés, par des dizaines d'hommes alors qu'elle était droguée, incarne un combat contre la domination masculine.